À Goya, en Argentine, dans la province de Corrientes, la Fondation María de Belen s’emploie à promouvoir le respect des droits et à améliorer la qualité de vie des enfants, des adolescents et de leurs familles, qui traversent diverses situations de vulnérabilité sociale, en effectuant un travail global basé sur la prise en charge, la prévention, la promotion et la participation des agents impliqués.
La Congrégation des Servantes de Marie est très impliquée dans cette Fondation. Présente au quotidien et en lien direct avec toute l'équipe (coordinatrice générale, coordinatrice des ateliers, psychologue, assistante sociale, professeurs des ateliers, comptable...), elle est aussi en charge de trouver des ressources pour la Fondation, une tâche parfois difficile...
PROSALMAG : Promotion, Santé et Alternatives Mauricio Garrigou
Le projet est situé à Tarapoto, dans le département de San Martin au Pérou.
PROSALMAG a deux axes principaux d'intervention :
• Le renforcement de l'éducation des enfants et la formation des femmes à faibles revenus,
• La prise en charge de la santé intégrale, tant au niveau de la fourniture de médicaments et d'aliments que de la revalorisation des médecines complémentaires et de la protection de la nature.
L'apprentissage par la pratique
"L'enfant est comme une plante qui doit un jour porter de grands fruits, mais son développement nécessite des soins sages, intelligents et constants."
L'école Maria Deepthi, située à Panakahalli, un village de l'État du Tamil Nadu, dans le sud de l'Inde, est un établissement scolaire primaire et secondaire. Les Sœurs Servantes de Marie et le personnel enseignant ont pour mission le développement intégral des élèves, les préparant à créer une société meilleure, sous la direction de Marie, notre Mère protectrice.
L'objectif principal est de fournir aux élèves une plateforme pour développer leurs compétences sociales et de leadership, façonner leurs intérêts et leurs loisirs et donner de l'importance au concept de "l'apprentissage par la pratique". C'est pourquoi nous nous efforçons de créer des clubs, tels qu'un club littéraire en trois langues, à savoir l'anglais, le tamoul et le kannada, un club de danse, de musique, de mathématiques, de sciences, ainsi qu'un club social et de sports. Les élèves ont la possibilité de choisir le club dans lequel ils souhaitent s'investir et, à partir de là, ils préparent divers projets, à l'intérieur et à l'extérieur de la salle de classe, en rapport avec leur programme d'études et la vie pratique.
Au service des enfants des rues
Basé à Yaoundé, capitale du Cameroun, sur les collines de Mvolyé, le Foyer de l’Espérance est une association diocésaine à but non lucratif, reconnue d’intérêt public par l’État camerounais, consacrée à la protection de l’enfance en difficulté.
Créé en 1977, à l’initiative du Frère Yves Lescanne, il œuvre à l’accueil, la protection et la réinsertion familiale et sociale des enfants et des jeunes de la rue, et de la prison de la ville. Il dispose de quatre centres : le centre d’écoute de Mvan, la maison Frère Yves Lescanne, le foyer de l’Arche de Noé, ainsi que le centre socio-éducatif du quartier des mineurs de la prison centrale de Yaoundé.
En tant qu’œuvre chrétienne, le Foyer de l’Espérance s'inspire de l’amour et la prédilection de Jésus pour les enfants, les plus petits et les exclus de notre société, sans distinction de race, religion ou nationalité.
Un enseignement d'excellence
Ouvert le 25 octobre 1965 par des religieuses de la Congrégation des Filles de la Croix, le Collège catholique Sainte Elisabeth de Korhogo était, à l’origine, réservé à la formation exclusive des jeunes filles.
En cinquante ans, il s’est positionné comme l’un des meilleurs établissements d’enseignement privé de Côte d’Ivoire et a participé à la formation de nombreux cadres.
Accueil, paix, tendresse et dignité humaine
Sous l'égide de la Congrégation des Filles de la Croix, le centre Jubilé Korhogo, dans le nord de la Côte d’Ivoire, reçoit tous les malades mentaux de la région du nord, du Burkina, du Mali et de la sous région. Chaque année nous accueillons environ cinq cent nouveaux cas de maladies mentales. Ce sont des personnes ridiculisées, moquées, rudoyées, et battues.
Nous voulons être un lieu d’accueil, de paix, de tendresse, d’insertion familiale et sociale, nous voulons redonner la dignité et la valeur à chaque patient. Par les soins (médicaments neuroleptiques, par l’écoute, par la prière ensemble , par le travail, par l’étude, par les jeux. Pour cela nous avons une bibliothèque, une ferme agro pastorale, un atelier de confection de grillage.
Centre de santé Notre-Dame de la Compassion
Les Sœurs de Notre-Dame de la Compassion sont présentes au Cameroun depuis 1965.
La Congrégation a soutenu la construction d'un dispensaire à Mimboman, un quartier populaire de Yaoundé, la capitale du Cameroun. Il est équipé de : médecine générale, pédiatrie, soins infirmiers, ophtalmologie, dentisterie, laboratoire, pharmacie, radiologie et échographie.
D'autre part, la construction d'une maternité et d'un hôpital pour enfants sera bientôt achevée, ce qui permettra de mieux assister cette partie la plus vulnérable de la population.
Redonner le goût de vivre
"Nous accompagnons ceux qui souffrent dans leur corps et dans leur cœur, en leur apportant une aide fraternelle concrète, l'espérance dans l'amitié et la foi ; nous voulons être un signe d'espérance et un service de communion entre les hommes."
Le dispensaire Maria Deepthi se situe au même endroit que le collège et la maison des Sœurs Servantes de Marie de Panakahalli, un village de l'État du Tamil Nadu, dans le sud de l'Inde. Il y accueille la population la plus vulnérable et la plus démunie (personnes âgées, femmes, enfants).
Très impliquées dans cette mission, les Servantes de Marie offrent une écoute et un soutien permanents aux personnes qui s'adressent à elles, mettant tout en œuvre pour leur "redonner le goût de vivre".
Le centre dispense des soins de santé préventifs et de première nécessité, traite les cas qui ne nécessitent pas d'hospitalisation et administre des médicaments si besoin. Il s'assure du suivi des patients et des visites à domicile ceux qui ne sont pas en mesure de se déplacer.
"Mettre la personne debout", notre première mission
Au cœur de la région du Poro, en Côte d'Ivoire, le Centre des Handicapés Don Orione, antenne de Korhogo, accueille, avec leur famille, les enfants et les adultes en situation de handicap physique, mental ou sensoriel, dans le but de les aider à faire un pas de plus vers leur autonomie physique et intellectuelle, en vue de leur insertion sociale.
Depuis presque 30 ans, la mission du Centre des Handicapés Don Orione se poursuit avec des demandes qui se diversifient et qui augmentent d’année en année. Né en 1994, de l’initiative de l’union des religieuses de Korhogo, le Centre a été confié à la Congrégation des Filles de la Croix par Monseigneur Auguste Nobou, évêque du Diocèse de Korhogo.